Le plus grand peut-être même.
De l'histoire de Pompéi, voir carrément du monde (et sa banlieue, montagnes comprises avec ses fleurs de génépi).
Un de ces jours, on en parlera sans peur, ici ou à Saint Tropez. Parce que c'est toujours effrayant de se confronter à ces monstres musicaux. Des echoes remonteront jusqu'à tes esgourdes. PUTAIN, quel album. J'ai des frissons rien que d'y penser et les poils de cul qui frisent. MEDDLE, le trip par excellence, avec juste des plantes dans un verre. Senteur anisée, tu préfères peut-être un Gin, rajoutes-y alors un bâton de gingembre pour parfumer et faire comme les moines adeptes du kyosaku, il parait que c'est bon aussi pour ton sabre, petit samouraï. Aux Armes Dressées.
Il y a 51 ans, l'âge du pastaga 51 au passage et donc d'un second verre stp demandai-je à la tavernière qu'une blouse trop serrée faisait ressortir ses charmes, naquit l'un des plus grands hommes.
Le plus grand peut-être même.
De l'histoire de la Yaute, voir même de beaucoup plus loin (sa lune et sa face obscure).
Be careful mon Bibi, ton cœur je le connais, genre à demander à la serveuse de nous montrer sa lune.
Question d'âme. Bel âme, bel homme.
Bon anniversaire, Bibi.
"Meddle", Pink Floyd.
Special BIBIBIRTHDAY !
Oui, un des plus grands albums. Ne prendra jamais une ride. Rien à rajouter. Si, juste, je suis du même âge que Meddle et que Bibi donc.
RépondreSupprimerA bientôt.
Un bon cru, donc !
SupprimerMoi, j'ai préféré une année moins médiatique, mais que j'apprécie également, pour son côté spleen, Obscured by Clouds...
Et bien que dire un bel âne plus qu'une belle âme.
RépondreSupprimerMais avec le pastis 51 on se conserve peut-être qui sait?!
Pour ce qui est de Pink Floyd, c'est intemporel, ça ne vieillis pas.
Je dirais même plus, tu l'écoutes et tu rajeunis. Ca te ravive les souvenirs c'est donc bon pour la mémoire. J'y vois un Bibi dans sa fameuse 4L mythique rouler à toute berzingue sur la rocade sud de Grenoble, radio cassette avec volume maximum, fenêtre ouverte et mon Bibi tenant le volant d'une main et braillant de tous ses poumons à s'en décoller la plèvre reprenant le rythme ensorcelant du riff qui te piège à tout jamais dans la partie occulte de cette musique endiablée.
Merci bibison et santé à toi
Je ne sais pas si je rajeunis avec, mais en tout cas je me réconforte souvent avec... Histoire de me souvenir, histoire d'oublier...
SupprimerIl faudrait que j'écoute ce Meddle mais ce qui vaut le jus aussi c'est le visuel, la performance scénique.
RépondreSupprimerPour l'anis c'est no way. Ce goût... beurcke.
Bon anniversaire.
Comment est-ce possible ? Je n'ai encore jamais rencontré de personne qui ne connaisse pas ce Meddle.
SupprimerNe me dis pas non plus que tu n'as jamais vu les grands films de cette époque, More et La Vallée (tous deux par Barbet Schroeder) ainsi que le Zabriskie Point d'Antonioni ?...
Je suis l'anonyme... mais mon smart refuse mes coordonnées depuis récemment.
RépondreSupprimerPascale
Bonjour l'anonyme. Il se trouve que moi aussi, j'ai certains problèmes pour m'identifier en commentaire avec mon compte Google. Mais anonyme ou pas, tu es toujours la bienvenue...
SupprimerMerci pour ton infinie mansuétude.
SupprimerMais seras-tu aussi indulgent quand je répondrai non à tes questions en forme de surprise...
Pascale
je n'ose croire que sur la route du cinéma tu ne te sois pas égaré dans ces films-là...
SupprimerOhhhhh quel retard!!!! ☹️
RépondreSupprimerHabibibirthday Phil!!!
Jamais de retard pour un pastaga, ce goût anisé sur la langue... Ou pour un bibi...
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