« Le lendemain matin, en s'éveillant, Chris trouva Regan dans son lit, à moitié réveillée.
- Eh bien, mais... que fais-tu ici ? Lui dit-elle en riant.
- Mon lit bougeait.
- Ma petite sotte ! (Chris l'embrassa et ramena les couvertures sur elle.) Rendors-toi. Il est encore très tôt.
Mais ce qui ressemblait aux premières lueurs de l'aube était le commencement d'une nuit sans fin. »
Un thème inoubliable, le Tubular Bells de Mike Oldfield.
Un lit qui bouge, une tête complètement retournée.
Une petite fille qui vomit.
Une petite fille qui descend les escaliers à quatre pattes… à l’envers.
Une petite fille qui vomit.
Une petite fille qui dit à sa mère de sucer des queues... en Enfer.
Une petite fille qui vomit.
Une petite fille qui dit à un prêtre de lui enfoncer son crucifix dans son vagin.
Une petite fille qui vomit.
J’ai lu « l’exorciste » de William P. Blatty et ce sont toutes les images du film qui me reviennent sauvagement en mémoire.
Des images folles, crues, totalement abjectes. Et maintenant j’ai mis des mots, des phrases sur ces images si fidèles aux écrits. J’ai revu l’intégralité du film en tournant les pages de ce roman écrit en 1971.
Et comme Bret Easton Ellis qui signe une nouvelle préface de la dernière édition du roman, j’ai été marqué, très jeune, trop jeune, par le film. Un film devenu instantanément culte dès sa sortie, de l’affiche à la musique.
Une chose est sûre, le roman se lit comme le film de William Friedkin, le cœur bien accroché et la gerbe sur quelques cinq cents pages.
- Eh bien, mais... que fais-tu ici ? Lui dit-elle en riant.
- Mon lit bougeait.
- Ma petite sotte ! (Chris l'embrassa et ramena les couvertures sur elle.) Rendors-toi. Il est encore très tôt.
Mais ce qui ressemblait aux premières lueurs de l'aube était le commencement d'une nuit sans fin. »
Un thème inoubliable, le Tubular Bells de Mike Oldfield.
Un lit qui bouge, une tête complètement retournée.
Une petite fille qui vomit.
Une petite fille qui descend les escaliers à quatre pattes… à l’envers.
Une petite fille qui vomit.
Une petite fille qui dit à sa mère de sucer des queues... en Enfer.
Une petite fille qui vomit.
Une petite fille qui dit à un prêtre de lui enfoncer son crucifix dans son vagin.
Une petite fille qui vomit.
J’ai lu « l’exorciste » de William P. Blatty et ce sont toutes les images du film qui me reviennent sauvagement en mémoire.
Des images folles, crues, totalement abjectes. Et maintenant j’ai mis des mots, des phrases sur ces images si fidèles aux écrits. J’ai revu l’intégralité du film en tournant les pages de ce roman écrit en 1971.
Et comme Bret Easton Ellis qui signe une nouvelle préface de la dernière édition du roman, j’ai été marqué, très jeune, trop jeune, par le film. Un film devenu instantanément culte dès sa sortie, de l’affiche à la musique.
Une chose est sûre, le roman se lit comme le film de William Friedkin, le cœur bien accroché et la gerbe sur quelques cinq cents pages.