Avez-vous vu la lumière ?
Avez-vous vu la lumière ?
Hallelujah !
Il a vu la lumière ?
Hallelujah !
J’ai vu la lumière !
Amen !
J’ai vu la lumière !
Amen !
C’est dans le cadre de feu le cine-club de Potzina, renaissant de ses cendres grâce à la complicité de blogueurs que le Seigneur a trouvé grâce en moi. Oui, je peux le dire, je suis en mission pour le Seigneur. Il m’a illuminé de son gyrophare bleu pour le thème concocté par manU, que les intimes n’hésitent pas à l’affubler de son pseudo luminescent la grenouille en charentaise.
Le thème du mois : « Lumières d’Artistes ».
Jack Blues, Ray-Ban noir, pantalon noir, veste noire, cravate noire, un préservatif dans la poche gauche, un préservatif usagé dans la poche droite, sort de taule, de la prison « Joliet » d’Illinois. Elwood Blues, Ray-ban noir, pantalon noire, veste noire, cravate noire, l’attend à la sortie de « Joliet » dans sa rutilante Dodge aux couleurs de la Police. Les frères du Blues. Etape obligée, aller voir la « pingouine », mère sup de l’orphelinat catholique où ils ont été « éduqué ». Un orphelinat qui fermera ses portes s’il ne trouve pas rapidement un généreux mécène…
Quand le blues va un peu loin, j’prends ma guitare et mon DVD des frères Blues et mon cœur fait Boom Boom Boom. Ce n’est pas John Lee Hooker qui va me contredire, harmonica aux lèvres. Ni même révérend James qui m’apporte sa lumière, et qui chante et qui danse pendant son office comme a fucking sex-machine !
Lumières d’Artistes, avec une foultitude de s à artistes, les plus grands noms du blues, de la soul et surtout du rythm and blues, avec un supplément de country. James Brown, Aretha Franklin, Ray Charles, Cab Calloway et John Lee Hooker pour un film endiablé, loué soit le seigneur, illuminé par le Seigneur et par deux gars complètement illuminés, Dan Aykroyd et John Belushi, pour une réalisation de John Landis et une bande son des plus furieuses qui chasse autant le blues que les âmes en peine, qui donne la pêche, le sourire et l’envie de porter des Ray-Ban. As-tu vu la lumière ?
Sans oublier les plus spectaculaires courses automobiles à travers les rues et supermarchés de Chicago et les paysages de l’Illinois. Que de voitures cassées, tôles froissées, carrosseries renversées, flics terrassés et nazis humiliés. Une chose est sûre, la lumière ne viendra pas de ces derniers adeptes du brassard au svastika inversé. Du grand spectacle, divertissement pour tout âge, bonheur des zygomatiques et des esgourdes.
J’adore ces regards derrière des lunettes noires, j’adore cette complicité entre deux frangins, cette folie qui s’empare d’eux comme s’ils étaient habités par le diable ou la fièvre musicale. J’aime lorsque la vie tourne autour d’une musique, histoire sans paroles, le silence et la furie des sax’. Du rythme et du blues. « The Blues Brothers », en mission pour le Seigneur, est le genre de grand moment totalement déjanté cinématographique qui se regarde sans compter, artistes lumineux, lumière éteinte, décibels à fond.
Ishhhhhhhhhhhhhhhhhh!!!! Pendant une fraction de secondes j’ai cru que tu avais été illuminé par le Seigneur!!! Tanarnak...
RépondreSupprimer"a fucking sex-machine”... c’est comme les “fucking machine gun” ça? ;-) ^^
Il faut absolument que je revoie ce film!!!
Poupée... pffffffffffffffffffff!!!!!!
Un tabarnak sex-machine !
SupprimerPas assez lumineux pour que le Seigneur, cet illuminé, vienne éclairé ma voie, alors je suis loin d'être illuminé, encore moins une putain de lumière.
Alors poupée, une virée dans ma Dodge, ça tente toujours pas ton majeur ?
La grenouille en charentaises remercie le vieux Bison pour sa participation et lui conseille de prendre un peu de viagra pour espérer se servir du préservatif... ^^
RépondreSupprimerQue du bio et du naturel pour mois, pur malt et pur maca !
SupprimerOUHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH ça ça fait mal à l'égo hein Bison? ^^
SupprimerPTDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR
"Mois" avec un s comme dans "plusieurs fois par jour sur la banquette arrière de la Dodge"? :D
Poupée........ RE-Pfffffffffffffffffffffffffff !!!!!!!!! ^^
un "moi" au pluriel, parce qu'il y a "moi" et le bison. Deux majeurs...
Supprimeret mon égo, ça fait longtemps qu'il est derrière moi, surtout à mon âge...
un Bison, "toi", deux majeurs et deux culs à l'air... ^^
SupprimerJe ne me lasse pas de voir cette comédie musicale "subversive" au casting 3 étoiles et avec de la musique d'enfer. Bravo pour le choix!
RépondreSupprimerBisous à toi et à plus sur nos blogs respectifs!
5 étoiles même pour le casting, ne faisons pas la fine bouche, surtout si elle est subversive...
SupprimerRho chouette un nouveau participant au Ciné-club, et la découverte de ton blog pour moi. Et quelle belle découverte, ça sent un peu la clope et le whiskey dans le coin, la cravate de travlingue d'un côté, le chapeau de l'autre. Du coup, le choix des Blues Bro' se pose là, à la lumière bleue et noire des arrières-cours des club de blues. Je reviendrais, et j'espère que tu vas nous retrouver régulièrement au Ciné-club, c'est moins fréquent que les réunions des Alcooliques Anonymes mais on se lâche pareil!
RépondreSupprimerJ'ai souvent manqué les rendez-vous avec le Ciné-club de Potzina, une ou deux participations à mon actif, et j'arrivais souvent en retard, trop pris par mes réunions avec les Alcooliques Anonymes.
SupprimerJe ris encore de la comparaison d'Alia Pan avec les réunions des Alcooliques Anonymes !
RépondreSupprimerVa savoir pourquoi tu lui as fait penser à ça... ^^
C'est certainement l'effet Rawhide des Blues Bros... sinon, je ne vois pas...
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