Pourquoi se contenter de nuances de gris, alors qu’on peut caresser du regard le velours coloré de la passion. Du fauve, du Béluga, du bleu d’orage, c’est un nuancier de couleurs primitives qui se déshabillent sous tes yeux, qui déshabillent mon âme.
Du rouge couleur Saint-Amour au carmin grand cru, je bois cette poésie de ma gorge asséchée par tant de passions oubliées. Un nu clair, sous le clair de lune, le verre se déverse entre les seins de l'Amour.
Une goutte finement saline, couleur rosée, glisse le long de la vitre, la sueur souligne le creux de tes hanches, quand je pénètre ton cul, ce sont mes rêves qui transpirent de plaisir.
Du bleu de la lune au bleu espoir de la vie, souvenir oublié de quelques étoiles scintillantes dans la lueur de tes yeux, je débouche le millésime de mes désirs, ton sourire danse le flamenco, et je te laisse boire la liqueur de mon amour, harmonie d’une vie.
Glass, je connais peu mais ce que j'ai entendu de ci de là m'a toujours semblé fascinant. Vu le soeurs Labèque il y a pas mal de temps dans un répertoire très différent.
RépondreSupprimerJ'ai découvert les sœurs Labèque justement avec cet album de Glass, Les Enfants Terribles, album que j'adore... J'ai aussi un truc plus flamenco, plus olé, de leurs parts également
SupprimerElle a de la chance ta Valentine.
RépondreSupprimerPhilipp Glass et la moitié des Labèque c'est magnifique.
Moi je suis dans un autre trip... foudroyée par John le seigneur...
Cette lecture me réveille la nuit.
J'ai oublié de remplir la fiche de police.
RépondreSupprimerFiche de Police et recensement, heureusement qu'on est pas en temps de guerre ;-)
SupprimerFoudroyée par John, la nuit, les éclairs, quel souvenir de trip. La légende de John à Baker...